L’endive est un légume feuille issue d’un bourgeons de chicorée qui pousse grâce à la main de l’homme. On n’en trouve pas naturellement. La pleine saison démarre en Octobre, se poursuit tout l’hiver jusqu’en mars-avril.
L’endive est peu calorique, riche en nutriments, elle apporte du potassium, de la vitamine B9 et surtout des fibres. Elle peut se consommer cuite ou cru et possède énormément de propriétés bénéfique à notre santé.
La digestion:
L’apport en fibres alimentaires favorisent le digestion en prévenant la constipation.
Elles permettent aussi de réduire le taux de mauvais cholestérol dans le sang, et donc les pathologies associés tel que la tension artérielle, les maladies cardiaques.
Le cerveau:
Les composant de l’endive tel que le potassium, la vitamine B9 et les minéraux antioxydants sont reconnus pour leur bienfaits neurologiques par une augmentation de la cognition, de la concentration et de l’activité neuronale.
La grossesse:
La vitamine B9, également connue sous le nom d’acide folique, joue un rôle essentiel pour la formation du fœtus chez la femme enceinte.
Après presque 2 mois de confinement, j’ai le plaisir de vous informer que le cabinet ré-ouvrira ses portes dès le lundi 11 mai.
Pour la sécurité de tous, toutes les précautions sanitaires nécessaires ont été organisé et mise en place. Je vous demanderais donc de vous munir d’un masque lors des consultations « OBLIGATOIRE »
Pour des raisons d’organisation sanitaire le cabinet adoptera des horaires restreintes les premières semaines de dé-confinement (10h- 15h tous les jours). Cependant, je m’adapterais pour les situations particulières (incompatibilité d’emplois du temps ou urgences).
La prise de rendez-vous est d’ores et déjà possible via le lien, ou en me joignant par téléphone au : 06 28 98 34 99.
Au plaisir de vous revoir très vite, mais en attendant prenez soins de vous.
En cette période de confinement et dans mon impossibilité de vous accueillir au cabinet, je vous ai préparé une petite série d’exercice pour les femmes enceinte (quelqu’en soit l’avancement de votre grossesse). En vous espérant tous et toute en forme.
L’ostéopathie est aujourd’hui réputée pour son intérêt dans la prise en charge des douleurs
de l’appareil locomoteur. Son
efficacité pour les troubles digestifs, urinaires, gynécologiques,respiratoires,
migraines, céphalées, troubles ORL,… est de plus en plus
reconnue.
Mais alors qu’en est-il de son intervention
dans la chirurgie ?
La reconnaissance de toutes les médecines non
conventionnelles, les progrès de la médecine et l’élaboration de nouvelles
stratégies thérapeutiques visent à éviter le plus possible les opérations.
Cependant, la chirurgie s’avère parfois être la seule solution.
En France, environ 5 millions d’interventions
chirurgicales ont lieu chaque année. Or, les suites d’opérations peuvent
parfois être longues et compliquées. Une intervention n’est jamais
bénigne. Les effets sur le corps ne sont pas négligeables et parfois de
nombreux effets indésirables peuvent apparaître après une chirurgie.
L’ostéopathie
une alternative à la chirurgie
Selon le cas,
l’histoire médicale du patient, la sphère qu’elle touche et avec l’avis
d’autres professionnels de santé, l’ostéopathie peut dans certains
cas être une alternative moins invasive qu’une opération chirurgicale. En
effet lorsque la question d’une chirurgie se pose, il est normal d’essayer de
trouver une solution plus naturelle.
De nombreux cas
de pathologies tel que le syndrome du canal carpien, la sciatique,
la névralgie d’Arnold, la névralgie pudendale, l’endométriose,
et bien d’autres encore trouvent une solution en première intention avec
l’ostéopathie.
Suite à vos
séances, si vous n’obtenez pas de résultat satisfaisant envisagez alors
l’opération chirurgicale en pesant bien le pour et le contre. Mais
attention, l’intervention chirurgicale n’est pas toujours miraculeuse. Prenez
bien en considération le taux d’échec, le taux de récidives et d’effets
secondaires avant de vous lancer !
L’ostéopathie
prépare à l’opération chirurgicale.
Vous
avez une opération prévue, qu’elle soit réparatrice ou esthétique ce n’est pas
un acte anodin pour votre corps.
L’opération
chirurgicale est avant tout un acte traumatisant, même les opérations dites
exploratoires qui sont moins lourdes tel que les endoscopies, les
coelioscopies, les coloscopies, les cystoscopies, etc… sont
des examens invasifs qui demandant une préparation importante et une période de
convalescence plus ou moins longue.
Dans
le cadre d’une opération, il est question d’intervenir sur une structure dont
l’anatomie est lésée ayant justement pour but de renforcer le corps et de
permettre à la structure opérée de remplir à nouveau sa fonction.
Ces
interventions sollicitent durement le système immunitaire. Les contraintes
tissulaires, organiques et structurels sont importantes (lésions initiales
liées au traumatisme, voie d’abord, déplacements des tissus et structures,
distensions, coupures, incisions, saignements, suture…). Sans oublier les effets
secondaires liés à certains médicaments ou à l’anesthésie. Or si le corps
fonctionne bien il sera plus à même de répondre de manière appropriée à cette
« agression », et sont adaptation sera d’autant plus rapide.
C’est
donc pour mieux appréhender votre intervention que l’ostéopathie vous
accompagne en travaillant et préparant les différentes zones de votre corps sujet
à subir des changements et des répercussions. L’ostéopathe redonnera de la
mobilité aux structures impliquées dans l’intervention et de ce fait libère et
facilite l’accès et le travail du chirurgien. Par un travail somato-émotionnel
il libère les tensions permettant à votre corps de mieux appréhender le
stress et l’anxiété de l’opération à venir.
L’ostéopathie est donc très utile en prévention d’une opération et ne nécessite pas de délais d’intervention, mais elle est d’autant plus recommandée en en post-opératoire. Effectivement la fatigue, le moral, la mauvaise cicatrisation, les douleurs post-opératoires sont autant de symptômes que peuvent subir les patients après l’opération et auxquels peuvent intervenir votre ostéopathe.
L’ostéopathie
post-opératoire.
Durant
l’intervention chirurgicale, le stress, l’anesthésie, la
position opératoire, la zone d’intervention…sont des facteurs à ne
pas négliger pour une récupération optimale. Une séance d’ostéopathie
respectueuse du contexte, des structures traumatisées permet de rétablie une
bonne homéostasie du corps (équilibre) et donne au patient les moyens précieux
pour accompagner sa guérison.
Anesthésie
Chaque
année, plus de 9 millions d’anesthésies générales sont pratiquées en France. De
nos jours c’est la méthode la plus utilisée pour rendre votre corps
insensible à la douleur durant l’opération.
Un cocktail d’hypnotiques
pour vous endormir et maintenir votre sommeil, d’analgésiques pour vous
éviter de ressentir la douleur et parfois de curares pour paralyser les
muscles (nécessaire en chirurgie thoracique et abdominale), vous seront
administrés avant de passer au bloc.
L’anesthésie
n’est pas un acte naturel pour le corps et demande à l’organisme un effort
supplémentaire pour éliminer les produits injectés et récupérer ses
fonctions.
En temps
normal les produits injectés devraient disparaître sous 24 à 48h après
l’injection, mais vous avez sans doute dû remarquer pour certains, la
difficulté à émerger et reprendre ses esprits en salle post-opératoire. C’est
le cas lorsque les organes responsables de l’élimination des déchets ont reçu
une charge de toxicité trop importante et qu’ils ne sont pas forcément préparés
à travailler autant.
Les organes émonctoires comme le foie, les reins ou encore les poumons, responsables de l’élimination des résidus de médicaments peuvent donc être sur-sollicités. Il n’est donc pas rare après l’opération d’observer une diminution de leurs fonctions.
L’ostéopathe
vous aide par un traitement global de drainage à éliminer les déchets
des produits anesthésiants et autres médicaments. Les techniques viscérales
optimiseront les organes émonctoires à amélioreront leur fonction permettant
ainsi de retrouver une homéostasie (équilibre) plus rapidement.
Stress,
fatigue physique et mental
Sans omettre l’impact de l’anesthésie,
une chirurgie est traumatisante physiquement et émotionnellement. Que
l’opération se déroule en urgence ou qu’elle soit préparée à l’avance, un
stress général du corps peut être ressenti avant comme après l’intervention
(stress post-traumatique). Ceci est un phénomène normal : votre corps qui
a été mis à rudes épreuves doit dépenser beaucoup d’énergie pour se
familiariser avec ce nouvel environnement intérieur.
Les conditions physiques,
psychologiques ainsi que la nature du problème et la qualité de l’opération sont
donc à prendre en compte dans le processus de guérison. Tous ces paramètres
perturbent votre équilibre qui n’aura pas d’autres choix que d’accepter ce
« nouveau soi ».
L’ostéopathe
apportera beaucoup de solutions par des manipulations douces, et des techniques
viscérales, travailler sur le système neurovégétatif ainsi que sur votre
sphère émotionnelle vous aidant à réguler votre niveau de stress et votre
sommeil. Rétablissant ainsi le bon état
général de votre corps qui lui permettra de stimuler ses capacités
d’auto-guérison.
Après
l’opération il est fréquent d’observer des tensions physiques, post-traumatiques
qui se révèlent articulaires ou tissulaires (post-opératoires), local ou a
distance. En effet certaines chirurgies peuvent être longues et nécessitent de
mettre votre corps et vos articulations dans des positions inhabituelles mais
indispensable au bon déroulement de l’opération. Votre ostéopathe
interviendra là aussi dans la prise en charge de ces différentes zones en
redonnant une bonne mobilité à vos os, articulations, tissus, et organes
perturbés, permettant ainsi à votre corps de s’adapter à cette nouvelle version
de lui-même.
Cicatrisation
Chirurgie est synonyme bistouri ou encore cicatrice. Suite à votre opération, vous allez hériter d’une jolie (ou parfois moins jolie) cicatrice. Celle-ci est le reflet de ce qui se trame un peu plus en profondeur, sous votre peau.
Il faut
imaginer un ensemble de réseaux tissés à « l’intérieur », un peu
comme une toile d’araignée qui relie votre peau à vos organes eux-mêmes
rattachés à votre architecture osseuse.
Pendant
l’intervention, de nombreux tissus subissent des changements physiologiques et
organiques. Certains organes ou vaisseaux sont déplacés, les tissus sont
lacérés ou sectionnés, engendrant le phénomène naturel de défense du corps qui
par l’auto-guérison tentera de réparer du mieux possible ces lésions et
cicatrisera.
Ces
cicatrisations plus ou moins orientées ou anarchiques s’accompagnent d’un
phénomène appelé “adhérence”. Les adhérences cicatricielles ainsi
que les fibroses importantes enraidissent et limitent l’amplitude
articulaire, réduise la tonicité musculaire, entrave la mobilité organique et
donc la fonction.
Selon
l’endroit de ces adhérences, celles ci peuvent entraîner des gènes, des
douleurs, ayant des effets néfastes sur le plan fonctionnel tel que des troubles
du transit, des infections urinaires à répétitions, etc
L’ostéopathe
va notamment travailler sur ces « adhérences » par des techniques
douces afin de redonner une souplesse et élasticité à ces tissus traumatisés,
ce qui améliorera leurs fonctions et soulagera le patient.
L’ostéopathe
pourra aussi vous donner des petites astuces pour travailler vous même votre
cicatrice afin d’éviter les adhérences et la faire « disparaitre »
plus rapidement.
Rééquilibre
postural
Les périodes
d’hospitalisation et d’immobilisation peuvent avoir des effets secondaires. Des
contraintes posturales peuvent apparaître suite à votre opération, provocant :
perte musculaire, troubles vasculaires suite à l’alitement prolongé, problèmes
de compensations posturales en lien avec les attitudes antalgiques, douleurs
inexpliquées qui subsistent même si l’opération s’est bien passée… etc.
Comme
expliqué précédemment en fonction de la modification et des perturbations
chirurgicales, selon la position de votre corps durant l’opération, ou bien la
durée de votre immobilisation les effets peuvent être plus ou moins importants.
Votre ostéopathe pourra soulager ces douleurs et libérer les tensions en
s’assurant de redonner de la mobilité à vos tissus, muscles, etc.
L’ostéopathie
peut aussi permettre de dépasser ces blocages physiques qui peuvent être liés à
des compensations dues à la pathologie avant l’opération chirurgicale ou bien à
la sphère émotionnelle et psychologique.
En cas de
chirurgie dentaire il est
fortement indiqué de consulter votre ostéopathe. Pose de prothèse, extraction,
etc. cela entraîne des adaptations posturales importantes. Le travail de votre
ostéopathe permettra de faciliter cette adaptation ou d’en corriger les
désagréments.
Des cervicalgies
importantes peuvent subvenir après une intubation de par les tensions
subies sur la gorge. Votre ostéopathe vérifiera la bonne mobilité de votre œsophage
et de vos vertèbres cervicales, auxquelles ce dernier est rattaché. Il pourra
également travailler sur l’ensemble des tissus enveloppant l’œsophage :
les fascias et réduire considérablement ces douleurs.
Après une
opération sous cœlioscopie :
on peut remarquer des douleurs aux épaules ou à la nuque,
provoquées par le gaz injecté pour « gonfler » le ventre lors de
l’opération. A la suite de celle-ci, il peut se loger au niveau des
épaules et être responsable de douleurs. Ici aussi votre ostéopathe vous sera
d’un grand réconfort.
A la suite d’opérations
plus classiques (avec ouverture de l’abdomen par exemple) l’intestin peut
devenir, dans les heures et les jours qui suivent, « paresseux ».
La reprise du transit est souvent un passage peu agréable, précédé par une
période de ballonnement abdominal inconfortable. L’ostéopathie peut
aussi vous apporter des solutions dans ces cas là !
Conclusion.
L’ostéopathie
intervient dans des domaines où le grand public ne l’y attendait peut-être pas
spontanément.
Elle
offre un soutien comme approche palliative. Elle optimise les conditions tissulaires
tant localement qu’au niveau de l’état général du patient et prépare ce dernier
à l’opération. Elle libère d’une part les tensions physiques liées au
traumatisme (approche globale). D’autre part, elle prend en charge les tissus
impactés suite au traumatisme et à l’intervention chirurgicale. Avec des
techniques très douces, il est possible de libérer les tensions tissulaires
afin de redonner souplesse et élasticité aux tissus, et limiter dans ce sens
les effets liés aux adhérences.
Extraction dentaire, chirurgie
orthopédique, chirurgie viscérale, chirurgie ORL, stéréotomie, cœlioscopie.
L’ostéopathe peut intervenir en pré opératoire sans délais avant
l’intervention, toutefois pour une prise en charge ostéopathique post
opératoire il est important de respecter un délai de 3 semaines après
l’intervention
N’hésitez pas à prendre contact avec votre ostéopathe pour en savoir plus.
Toutes droites sorties des vieilles armoires de nos grands-mères, les ventouses font depuis quelques années leur retour.
Elles sont l’héritage de plusieurs générations et proviennent de multiples origines.
Utilisé depuis plus de 3500 ans par les Egyptiens, les Grecs, le Moyen-Orient, les pays méditerranéens, l’Occident, la chine … à des fins médicinales et thérapeutiques, elles ont été plus ou moins misent de coté lors de l’apparition des Antibiotiques.
Si elles ont cessé d’être enseignées en médecine au début du XXème siècle en Europe, elles demeurent toujours un outil thérapeutique utilisé par la Médecine Traditionnelle Chinoise.
Les ventouses sont posées sur les points d’acupuncture précis le long des méridiens, ou sur des points d’anatomies précis (en vue de les décongestionner).
Son protocole se veut exigent en 6 points conditionnant ainsi le résultat.
Précision topographie d’application
Nombre précis de ventouses à poser
Variation spécifique et précise du temps de pose selon la localisation anatomique
Association des points de pose (Point de MTC et point anatomique)
Simultanéité de pose du nombre déterminé de ventouses
Choix de la technique et des outils utilisés (ventouse à chaud, à froid, scarifié ou non)
Mode d’action des ventouses
Dans cette nouvelle approche on distinguera 6 grands effets majeurs :
Mécanique (circulatoire)
Métamérique (action sur les douleurs projetées)
Humoral
Auto-hémothérapique (ventouse scarifiée)
Antalgique
IU-MO ou viscéral (MTC)
Pour faire simple, la décompression effectuée suite au vide d’air de la ventouse induit une « aspiration » de la peau et, donc, un afflux de sang vers la périphérie.
La zone vasculaire est alors décongestionnée, ce qui favorise la circulation sanguine générale et permet l’évacuation des toxines dans la circulation générale ou à l’extérieur lors de la pose de ventouse scarifiées.
Cette mise en mouvement agit tant en surface qu’en profondeur ou à distance, car peau, viscères, muscles et nerfs sont interconnectés.
Les ventouses posées minutieusement sur les points d’acupuncture agissent également dans la régulation énergétique ou sur les stagnations de froid, feu, vent, sécheresse ou humidité, considérées par la médecine chinoise comme des déséquilibres responsables de certaines pathologies.
Indications:
On les connaît surtout par l’utilisation de nos grands-mères pour soigner les bronchites, toux, pneumopathie, asthme… mais ces dernières sont surtout très efficaces en cas de douleurs par leur effet antalgique, notamment musculaire (contracture, élongation..) mais aussi articulaires (entorse avec oedème..), tendineuses (tendinites) ou rhumatismales (arthrose).
Elles ont par ailleurs un effet énergétique et circulatoire global et permettent de décongestionner certains organes, et améliorer leur fonctionnement.
Aussi utilisées pour réguler les troubles digestifs, les migraines, et autre troubles organiques, elles reviennent en force et deviennent un outil de qualité.
Si les ventouses s’adressent à tous, elles sont contre-indiquées aux trop jeunes enfants, durant la grossesse près de l’abdomen, sur les plaies, brûlures et traumatismes récents ainsi que pour les personnes trop faibles, ou prenant des traitements anticoagulants.
La grossesse est un moment clé dans la vie d’une femme.
Au profit d’une vie qui se construit, son corps va se transformer en temps record, engendrant ainsi des changements profonds à tous les niveaux : physiques, psychologiques et hormonaux ; ce qui réclame de la part de son organisme une adaptation extrême.
Durant toute la grossesse, les professionnels de santé accompagnent la femme enceinte dans ces bouleversements. En complément du suivi médical conventionnel, l’Ostéopathie apporte à la future maman un bien-être certain pour une grossesse harmonieuse.
Attention l’Ostéopathie ne remplace en aucun cas une visite chez le gynécologue, la sage-femme ou le médecin généraliste. Elle est un complément au suivi médical de la grossesse et ne PRETEND NULLEMENT s’y SUBSTITUER.
Les changements induits par la grossesse sur l’organisme de la femme sont nombreux. Ils auront principalement lieu au niveau de la sphère du petit bassin et notamment sur l’utérus, mais auront des conséquences sur maintes autres parties du corps et notamment la posture par le changement de position du centre de gravité. Ainsi l’équilibre devient instable ce qui aura des influences:
Directes : musculo-squelettiques comme des contractures musculaires, raideurs articulaires provoquant ainsi l’apparition de douleurs.
L’Ostéopathe peut intervenir avant la grossesse en prévention afin de rééquilibrer les différentes fonctions. Entre autres : sur la restitution de mobilité du bassin, la mise en place des structures pour accueillir le bébé, mais aussi pour des problèmes de fertilité.
2°- Pendant la grossesse
Pour préserver tout au long de ces 9 mois une bonne mobilité du rachis, du bassin ainsi que des viscères afin d’apporter confort et bien-être à la maman. Les principales causes de consultation de la femme enceinte chez l’ostéopathe sont :
Troubles circulatoires : migraine, œdèmes des jambes, sensation de jambes lourdes
3°- En vue de l’accouchement
Au cours du 3ème trimestre, le rôle de l’ostéopathe sera de préparer à l’accouchement afin d’optimiser son bon déroulement.
Une levée des tensions musculaires et ostéo-ligamentaires, notamment sur le bassin, ainsi que sur le diaphragme, facilitera l’engagement du bébé et la respiration abdominale apportant une meilleure maitrise de la douleur lors du travail.
4°- Post partum
L’accouchement est un événement traumatisant pour le corps, pouvant provoquer plusieurs modifications des rapports osto-articulaire engendrant des tensions musculaires inconfortables. Il est donc important de rééquilibrer le bassin, de réharmoniser l’équilibre viscéral de l’abdomen et de vérifier et corriger les éventuelles fixations et déséquilibres de l’utérus ainsi que de ses ligaments (6 semaines après l’accouchement). Un travail sur les cicatrices est particulièrement intéressant après une césarienne.
Les cas de contre indications à l’ostéopathie chez la femme enceinte sont rares. On évitera cependant toute manipulation intempestive durant le 1ier trimestre ainsi que dans certains cas : risque d’accouchement prématuré ; placenta praevia ; pré-éclampsie ; fissure de la poche des eaux.
Rappelons ainsi qu’en vue d’établir un diagnostic (d’exclusion ou non) et donc de procéder au meilleur traitement possible, l’interrogatoire minutieux de la femme enceinte doit prendre une place importante dans le temps de consultation.
Le travail de l’ostéopathe consiste à tester puis réduire les restrictions de mobilité de l’ensemble du corps afin de restituer un environnement propice et favorable au développement du futur bébé. Pour cela, les praticiens utiliseront des techniques douces et adaptées à la femme enceinte leur apportant bien-être et permettant aux femmes de mieux vivre leur grossesse en luttant contre de nombreux maux.
* sources : Mémoire de recherche « exercice particulier de l’Ostéopathie chez la femme enceinte » auteur : Barrière Flora, Lassalle Agathe-Théodora, Larroude Marie-Pierre, Naudin thomas, Paredes Anne-Laure (mars 2010)
A la naissance, les nourrissons peuvent présenter divers troubles
Une mauvaise position in utéro, un accouchement difficile, trop long, trop rapide, nécessitant une césarienne, l’utilisation de forceps ou de ventouses, sont d’autant de traumatismes responsables de ces troubles.
Comme pour les adultes le thérapeute va collecter un maximum d’informations concernant le bébé, grossesse, accouchement, les troubles repérés par les parents, etc..
Un examen complet très doux permet de détecter les dysfonctions à l’origine des troubles. Par la suite l’ostéopathe procède à une série de mobilisations douces et adaptées, visant à traiter ces troubles et permettre ainsi à votre bébé de retrouver un état d’équilibre optimum.
Quand consulter
La prise en charge par l’ostéopathe peut se faire dès la sortie de la maternité. Plus l’enfant est vu tôt, plus il sera facile pour l’ostéopathe de rétablir son équilibre
Le nombre et la durée des séances dépend de l’âge de l’enfant, des troubles qu’il présente et de ses réactions face aux mobilisations. En général les bébés sont tout particulièrement réceptifs à l’ostéopathie (corps très modelable) une à deux séances suffisent. Les séances sont généralement plus courtes (environs 30 minutes)
Il arrive que les bébés pleurent au cours de la séance, mais cela ne doit pas inquiéter les parents. L’ostéopathe n’emploie que des techniques douces, indolores et adaptées.
Les indications chez le nourrisson :
Torticolis congénitaux (tête toujours sur le même coté.)
Régurgitations
Problèmes de succions, difficultés à téter
Problèmes de sommeil
Plagiocéphalie (crâne plat)
Otites, rhinites et bronchiolites à répétitions
Naissance difficile, longue aux forceps, par césarienne, par ventouse
Cordon ombilical enroulé autour du cou
Grossesse multiple
Présentation par le siège, face ou front
Malposition des pieds et troubles de la marche
Positions accentué : bébé raide, les bras et les mains crispées, se cambre souvent en arrière…
Cette liste est non exhaustive, mais permet de vous donner une indication à savoir quand consulter. Si l’un ou plusieurs de ces cas de figure se présentent, il est conseillé de consulter un ostéopathe.
Une fois le bilan établi et le nourrisson équilibré, un suivi régulier est préconisé afin de s’assurer qu’aucune tension n’entrave le bon développement de l’enfant.
Il est conseillé de consulter avant chaque période clé du développement de l’enfant : acquisition de la tête (2 à 3 mois), acquisition de la station assise (6 à 7 mois), acquisition de la marche (12 à 14 mois).
De plus, en grandissant, notamment au cours de l’apprentissage de la marche (chute à répétition), lors de la première activité physique, puis lors des poussées de croissance et de l’adolescence, le corps de votre enfant subi de grandes modifications. Il est donc conseillé de faire un bilan régulièrement pour s’assurer que votre enfant grandi dans un corps en parfait équilibre.
Les indications chez l’enfant :
Maux de tête
Maux de ventre
Mal de dos
Irritabilité
Troubles du sommeil
Troubles de la concentration
Mauvaise posture à la marche
Scoliose
Affections ORL à répétition
Port d’un appareil d’occlusodontie
Port de semelles orthopédiques
Troubles du développement psychomoteur
Après une chute, une intervention chirurgicale, une entorse
Une consultation ostéopathique ne remplace pas la consultation du pédiatre. En cas de traumatisme ou de suspicion de maladie aigue (virale, bactérienne, fongique), il est nécessaire de consulter votre pédiatre en première intention.
Structure équilibrée + liberté de mouvement = fonction optimisée.
Les sportifs soumettent leur corps à d’importantes contraintes. L’ensemble des structures biomécaniques est d’avantage sollicité. Le déséquilibre de ces dernières se manifeste chez le sportif par différents symptômes, de la simple contracture à la douleur chronique, pouvant aller même jusqu’à la blessure. Ces différentes dysfonctions altèrent le bon fonctionnement de l’organisme et de ce fait les performances.
Que vous soyez amateur, semi-professionnel ou professionnel, que vous repreniez votre activité ou débutez une nouvelle activité, je m’adapte à vos besoins et à vos projets.
L’ostéopathie a des actions dans plusieurs domaines, et notamment tout au long du parcours sportif:
Elle est préventive (lorsqu’elle est pratiquée en amont des douleurs ou d’une épreuve)
Elle est amplificatrice de performances (lors d’un suivi régulier)
Elle est facilitatrice (pour la récupération sur blessure musculo-tendineuse, ostéo-articulaire et opération)
Elle est curatrice (suite à un choc sans fracture, ou à de multiples dysfonctions ostéo-articulaire et musculo-squelettique)
Une structure équilibrée et une mobilité ostéo-articulaire libre vous permettront d’atteindre une performance fonctionnelle inestimable.
Ainsi, sportif professionnel ou amateur, Je peux vous aider dans la pratique du sport ou lors d’une préparation en vue d’une épreuve. L’ostéopathie sera un atout pour la régularité de vos performances.
Pourquoi consulter, les indications les plus fréquentes :
Pour établir un “check up”, pour préparer une épreuve.
Récupération difficile entre et/ou après les épreuves,
Rééquilibrer les axes articulaires du corps et effacer les traumatismes même anciens afin de limiter les risques de complications et de dégénérescence précoce.
Après chutes, fracture, entorses, opérations chirurgicales pour aider à une bonne cicatrisation.
Maux de tête, troubles de l’équilibre, vertiges.
Stress, manque de concentration, troubles du sommeil.
Action préventive :
Il est conseillé de consulter son ostéopathe avant de commencer, ou de recommencer une activité sportive. Que ce soit pour les jeunes enfants qui commencent le sport, les amateurs qui souhaitent commencer ou se remettre à une activité après un arrêt temporaire, les adolescents et les sportifs de haut niveau qui reprennent la saison sportive.
Cette consultation permettra de prévenir plutôt que de guérir en rééquilibrant les différentes structures et en levant les restrictions physiques accumulées. Ces contraintes peuvent être engendrées par la pratique sportive elle-même, de mauvaises habitudes de posture, ou des accidents bénins. Elles peuvent entraîner la persistance ou l’accentuation de déséquilibres et engendrer gênes voire blessures. Ce bilan d’avant saison permet aussi de détecter certain morphotype nécessitant un équipement adapté (genoux valgus, scoliose), et lister avec son ostéopathe les facteurs favorisant les blessures : hydratation insuffisante, mauvaise dentition, problèmes ophtalmologiques, problèmes de souplesse…
Action amplificatrice :
Par son action globale et précise, l’ostéopathie améliore le potentiel, la puissance musculaire, la souplesse articulaire et la capacité respiratoire du sportif.
Le traitement ostéopathique permet également une meilleure concentration avant l’épreuve et une récupération optimale après l’effort.
Le degré de progression varie d’un cas à l’autre mais peut-être relativement important chez certaines personnes.
Action facilitatrice :
Suite à une blessure nécessitant une immobilisation, une rééducation, ou une opération, l’indication de prise en charge ostéopathique en parallèle aux thérapies médicales permet de réduire considérablement les séquelles provoquées par la blessure et contribue au retour plus rapide sur le terrain. Un traitement ostéopathique sur une structure présentant des restrictions de mobilités permet de lui redonner toute sa mobilité et ainsi de maximiser l’efficacité du traitement kinésithérapique, minimisant les risques de récidive ou de réaction en chaîne (douleurs à distance, changements d’appui ou de posture…)
Action curative :
En règle générale la pratique sportive, sollicite plus intensément le système ostéo-articulaire et musculo-squelettique, ce qui peut provoquer des douleurs d’ordre musculaire ou d’ordre articulaire. Au cours de la saison, les chocs et les mouvements répétitifs liés à l’entraînement ou aux compétitions donnent lieu à des traumatismes qui peuvent entraîner des blocages et des restrictions de mobilité. Ceux-ci sont susceptibles d’accentuer les risques de blessures… claquages, tendinites… Une simple foulure peut entraîner des déséquilibres importants dans d’autres zones du corps (lombaires, cervicales) et donc des douleurs, parfois quelques mois après la blessure d’origine. Bien évidemment, il ne s’agit pas là d’une généralité. Le traitement est établi d’après un bilan clinique complet prenant en compte le corps dans sa globalité, et suite à un interrogatoire détaillé. Tous les paramètres sont pris en compte afin d’établir le meilleur diagnostic permettant un geste thérapeutique précis.
L’ostéopathie est une pratique basée sur des principes fondés par A.Taylor Still
Le traitement ostéopathique repose sur le principe que le corps humain et ses différentes parties doivent disposer d’une entière liberté de mouvement, d’un point de vue physiologique, afin de conserver la bonne santé, et être opérationnel. Il concerne toutes les structures du corps : Fluide, différents tissus, muscles, tendons, ligaments, articulations et les organes. Il permet de diminuer et rééquilibrer les tensions de ces structures et de favoriser les échanges des liquides qu’elles contiennent (sang, lymphe, liquide céphalo-rachidien) ceci dans le respect de la physiologie du patient et de son corps
L’ostéopathe doit donc diagnostiquer les pertes de mobilités, et les supprimer grâce à des manipulations. Ces technique sont douces, manuelles et adaptées à la zone du corps, à la morphologie, la plainte, l’âge, etc… (structurelles, fasciales, myotensives, fonctionnelles)
L’ostéopathie repose sur 4 règles :
Le lien entre la structure et la fonction
Le rôle de l’artère suprême et la capacité à l’autorégulation
L’unité du corps
La prise en charge complète du corps mais également du vécu de l’individu et de l’environnement dans lequel il vit (contraintes affectif, social, familiale..), la personnalité, l’histoire et les antécédents, le stress…
Quand consulter ?
En préventif
Avant de commencer une saison, ou une nouvelle activité sportive
En préparation à une épreuve sportive
Pour améliorer ses performances
Après un traumatisme, une immobilisation…
Pourquoi consulter ?
Douleurs articulaires, musculaires et ou tendineuses
Douleurs du squelette (membres supérieurs et inférieurs) lombaires, dorsales, cervicales et crânienne (céphalée, otite…)